La ruine presque cocasse d’un polichinelle

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Ce titre emprunté à un chef d’œuvre de l’immense Mongo béti illustre à suffisance la faillite de la politique des occidentaux au Mali. Toute cette dernière décennie, les occidentaux ont fait de Iyad Agh Ghali, l’ennemi public numéro 1. IL avait disparu de la scène politique. Probablement caché dans le désert au sud de l’Algérie, aux confins des Ifhoghas, ou dans le septentrion nigerien. Ce qui semblait improbable pour ce leader touareg très habitué aux ors et lambris dorés des palais présidentiels.

Mais à la faveur des trois attentats terroristes simultanés survenus au Mali, comme par enchantement le disparu est revenu au devant de la scene en revendiquant la responsabilité des crimes. Le module opératoire est déjà connu, attentat kamikaze, mais les explosifs de par le matériel utilisé et les systèmes de mise à feu sont révélateurs. Ce n’est pas le pas le fait de petits amateurs, c’est la marque des services professionnels.

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De toute évidence, Iyad agh Ghali a été remis en selle pour servir de cheval de Troie à la violence dans la zone sahélienne. Ainsi donc, l’on a lâché la bride du bouledogue pour punir la volonté d’indépendance des maliens et envoyé un signal fort au Burkina faso et au Niger.

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